Safari photo au Kenya.

septembre 2003

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Amboseli

 

Nous partons du parc de Tsavo tôt le lendemain matin pour le parc d’Amboseli. Et c’est là que les ennuis commencèrent pour moi. Si le mot tourista vous dit quelque chose, vous y ajoutez tous les effets indésirables, et vous aurez une idée du tragique (comique ?) de la situation surtout quand vous vous tapez 6 à 8 heures de minibus par jour. Sans rentrer dans les détails, j’ai vécu de grands moments de solitudes pendant 3 jours. Quelques collègues du groupe m’ont suivi peu de temps après dans mes aventures gastriques (par solidarité ?). Je me suis senti un peu moins seul … Attention donc à ce que vous mangez ou buvez !
De la poussière, beaucoup de poussière

Tranche de vie

Le co-voiturage local

Mais revenons à nos gnous et surtout au parc d’Amboseli. A la différence de Tsavo, ce parc est constitué de grandes plaines arides avec de grandes taches vertes alimentées par des sources souterraines venant des neiges du Kilimandjaro. Le terrain, assez plat, permet ici de voir les animaux à plusieurs centaines de mètres. Le nombre de piste sillonnant le parc est aussi bien plus important ce qui facilite grandement l’observation des animaux.
Après avoir traversé une partie du parc dans un nuage de sable et de poussière mémorable du à la sécheresse de la piste, nous arrivons au « Ol Tukai Lodge » qui est situé idéalement au bord d’une réserve d’eau. Nous pouvons voir les zèbres s’abreuver de la fenêtre de notre chambre. Sympa ! L’hôtel est encore une fois d’un bon standing avec piscine, jardins, et espaces de détentes. La nourriture est par contre « on ne peut plus conventionnel » mais reste très correcte. Comme d’habitude, les serveurs poussent à la consommation, et vous n’aurez pas le temps de mourir de soif !

Le « Ol Tukai Lodge »

Sa salle à mangé

Ses invités

Une excursion non obligatoire dans un village Masaï nous est proposée en début d’apm pour la somme de 10 euros. Etant malheureusement au paroxysme de ma tourista, ma compagne n’étant pas mieux, nous renonçons à y participer. Je peux donc juste vous dire d’après les retours que j’en ai eu que cela vaut le détour même si il ne faut pas perdre de vue le coté « attraction touristique » et donc moins « authentique » de la chose.
Nous partons quand même en fin de journée pour le safari avec quelques « petites poses imprévues » dans la savane.
La densité d’animaux est vraiment importante et nous avons enfin l’occasion d’approcher de près des éléphants. Nous finissons le safari avec le traditionnel point de vue sur le Kilimandjaro avec défilé d’éléphants au premier plan. Malheureusement il est assez rare de pouvoir observer le sommet du Kili sans nuage et ce soir là ne dérogeait pas à la règle.

Le village Masaï

Comment faire du feu ...

... à la "old school".

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